Ce samedi, le XV de la rose vient de se qualifier pour la finale de la Coupe du Monde de rugby, en s’imposant sur le score de 19 à 7 faces aux All Blacks. Les Anglais ont écrasé la Nouvelle-Zélande sur l’ensemble du match.
Avant le match, l’Angleterre était bien déterminée à manger les Néo-zélandais. En faisait le “V” de la victoire face au haka, cela pouvait rappeler de vieux souvenirs d’une certaine finale en 2011. Un signe fort de la part des hommes d’Eddie Jones qui s’attendaient à un sacré défi. Peu de temps après la rencontre débute, avec un essai de Manu Tuilagi à la deuxième minute de jeu. Owen Farell et ses coéquipiers ne laissent pas de répit à des blacks sous pression pendant quasiment toute la première mi-temps. Tranchant à chaque action, les Anglais prennent même le pas en mêlée. À la fin du premier acte, les Blacks n’arrivent pas à franchir le rideau blanc.
En deuxième période , c’est le même schéma, les Anglais continuent leurs assauts à répétition sans laisser le moindre ballon au Néo-Zélandais. Malgré un essai, les blacks n’arriveront jamais à accrocher l’Angleterre dans cette rencontre. Pour la première fois depuis 2007, les triples champions du monde n’iront pas en finale.
BLACKS OUT
— Matthieu Lartot (@lartot) October 26, 2019
#ENGVSNZL
Point fort : la défense anglaise
Si l’Angleterre a réussi son match, c’est aussi grâce à sa défense. Maro Itoje et Tom Curry ont écoeuré les offensives Néo-Zélandaise. Beaucoup de ballons ont été gratté de la part des défenseurs anglais ce qui a complètement empêché la Nouvelle-Zélande de mettre en place son jeu. Trop de maladresse de la part des Blacks, ne pouvant aboutir à une nouvelle finale.
Point faible : l’indiscipline néo-zélandaise
Les hommes de Steven Hansen ne nous avait plus habitué à une telle indiscipline depuis longtemps,l’Angleterre marquera 4 pénalités, Beauden Barrett et ses compatriotes ont été pris tactiquement et techniquement à un jeu qu’ils maîtrisent d’habitude parfaitement.
Léo Couffin